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[/vc_column_text][vc_column_text]L’homme animal.
Il a la puissance d’un lion,
le savoir-faire d’un étalon,
l’aura de la déesse de l’amour.
Y goûter, c’est accepter d’y être piégé.
Car il donne tout, sans rien offrir en retour.
Comment peut-on autant donner de plaisir dans l’amour sans amour?
Il croit cela possible mais il n’a que la conviction de ses craintes.
Tellement épris de liberté, qu’aimer pour lui est le fruit d’un attachement dangereux.
Il préfère s’éloigner plutôt que de succomber véritablement à l’élixir de l’amour.
Tel un faucon, il guette sa proie,
puis il l’encercle,
il l’embrasse,
il l’empoigne,
et enfin il l’emprisonne.
En perpétuelle recherche inconsciente de sa semblable, même lorsqu’il la trouve enfin, ses craintes ressortent tel un étranglement surgissant au milieu de son sommeil.
S’éprendre de cet animal,
de cet homme,
c’est aimer et accepter l’absurde, l’irréel, le charnel, le despotisme.
Pour lui, l’amour, le romantisme, n’ont de sens que dans la souffrance, accompagnés par une véritable perte de temps.
Pourtant, son coeur déborde d’amour, son attitude le trahit parfois,
son regard le cri pour lui.
Cet élixir coule en moi tel un feu ardent de plaisir.
Se voir, se reconnaître dans l’autre c’est accepter cette appartenance.
À cet homme animal.
Sarah Donsar[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_cta h2= » »]
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